Notre histoire
Historique de esf Val d'Isère
De 1932 à 1938
Trois hommes inspirés, Jacques MOUFLIER le parisien, Charles DIEBOLD l'alsacien et Nicolas BAZILE l'avalin (alors maire de Val d'Isère), passionnés de montagne et convaincus que le site était promis par nature à un avenir brillant, sont à l'origine de la naissance de Val d'Isère, qui, dès sa création, s'est imposée dans le cercle restreint des « grandes stations sportives ».
L'hiver 1932-33, alors que Val d'Isère est un village presque endormi sous la neige, deux autrichiens débarquent dans le pays pour enseigner le ski (la méthode de l'Arlberg) aux très rares touristes. Il y at alors 132 habitants et 4 hôtels : « le Parisien », « le Bellevue », « la Galise » et « les Glaciers ». Ils s'aperçoivent très vite qu'ils ont besoin de quelques montagnards du cru qui pratiquent déjà le télémark pour se déplacer et aller à la chasse. Ils sont alors « 4 mousquetaires » : René BAZILE (fils du maire), les frères Adolphe et Fernand BONNEVIE du Fornet et Marcel BONNEVIE, qui assimilent aussitôt le « chasse-neige » méthode utilisée par les autrichiens.
L'hiver 1932-33, alors que Val d'Isère est un village presque endormi sous la neige, deux autrichiens débarquent dans le pays pour enseigner le ski (la méthode de l'Arlberg) aux très rares touristes. Il y at alors 132 habitants et 4 hôtels : « le Parisien », « le Bellevue », « la Galise » et « les Glaciers ». Ils s'aperçoivent très vite qu'ils ont besoin de quelques montagnards du cru qui pratiquent déjà le télémark pour se déplacer et aller à la chasse. Ils sont alors « 4 mousquetaires » : René BAZILE (fils du maire), les frères Adolphe et Fernand BONNEVIE du Fornet et Marcel BONNEVIE, qui assimilent aussitôt le « chasse-neige » méthode utilisée par les autrichiens.
L'hiver 33-34, les autrichiens reviennent mais « la bande des 4 », assez sûre d'elle pour se débrouiller toute seule, fait comprendre aux « étrangers » que les avalins entendent rester maîtres chez eux dès l'hiver suivant. D'ailleurs le modèle autrichien commence à en irriter quelques uns ! C'est ainsi qu'à Val d'Isère, qui sort de son isolement de fond de vallée grâce au ski, les trois premiers "moniteurs" locaux, René Bazile, Adolphe et Fernand Bonnevie balancent dans l'Isère les pancartes des Autrichiens.
« On en avait un peu marre, raconte Fernand Bonnevie, quatre-vingt-dix ans. On avait appris à skier avec deux d'entre eux, qui nous avaient pris comme assistants quand ils sont venus s'installer en 1932. Mais nous, on voulait être indépendants. René était le fils du maire, il avait treize ans, moi dix-sept et mon frère vingt. On était d'une famille de cultivateurs. On n'avait pas beaucoup de travail ; on faisait la trace et on damait une piste au Makalu, près des maisons. À cette époque, il n'y avait pas d'ESF, pas de diplômes, n'importe qui faisait le moniteur. Il y avait très peu de clients aussi. Ils arrivaient en bus ou en voiture jusqu'à Sainte Foy, puis en traineau jusqu'à Tignes, l'ancien village du lac, puis à pied à Val : ça faisait 7 kilomètres. On montait leur valise et ils nous payaient pour ça... Ici, personne n'avait encore de paie, sauf le facteur et le cantonnier ! »
Extrait du livre Les pulls rouges
« On en avait un peu marre, raconte Fernand Bonnevie, quatre-vingt-dix ans. On avait appris à skier avec deux d'entre eux, qui nous avaient pris comme assistants quand ils sont venus s'installer en 1932. Mais nous, on voulait être indépendants. René était le fils du maire, il avait treize ans, moi dix-sept et mon frère vingt. On était d'une famille de cultivateurs. On n'avait pas beaucoup de travail ; on faisait la trace et on damait une piste au Makalu, près des maisons. À cette époque, il n'y avait pas d'ESF, pas de diplômes, n'importe qui faisait le moniteur. Il y avait très peu de clients aussi. Ils arrivaient en bus ou en voiture jusqu'à Sainte Foy, puis en traineau jusqu'à Tignes, l'ancien village du lac, puis à pied à Val : ça faisait 7 kilomètres. On montait leur valise et ils nous payaient pour ça... Ici, personne n'avait encore de paie, sauf le facteur et le cantonnier ! »
Extrait du livre Les pulls rouges
En 1934, le premier remonte-pente est construit (le Rogoney) et Robert PITTE ouvre le premier magasin de sports. L'école de ski de Val d'Isère voit le jour ce même hiver 34-35. Forte de ses 4 pionniers et de quelques autres jeunes du pays (Charles DIEBOLD, Germain MATTIS, Jean GUNIE, Rémi MANGARD, Guy MORIS, Robert MANGARD, Robert RONDI, Jo SCARAFFIOTTI, Félix MATTIS, Henri OREILLER) entraînent les touristes (les termes « clients » puis « élèves » viendront plus tard ...) sur les pentes du « Rogoney » et de la « Savonnette » ... et lorsque certains commencent à se débrouiller, on les emmène en excursion à peaux de phoque sur Solaise ou depuis la Daille vers le col de Fresse. « À la descente, raconte Fernand BONNEVIE, on faisait des traversées entrecoupées de conversions ou d'un virage chasse-neige qui ressemblait déjà au "stem". »
L'hiver 36-37, Charles DIEBOLD ouvre la 1ère Ecole Française de Ski, dans laquelle une dizaine d'avalins travaillent cette fois dans le cadre d'un bureau organisé, au lieu de l'individualisme des premières années. En visite à Val d'Isère, les ministres Pierre COT et Léo LAGRANGE se font surprendre par la neige ; la station y gagne en célébrité. Pendant l'été 1937, le Président de la République Albert LEBRUN inaugure la route du Col de l'Iseran. La FFS, en accord avec le syndicat d'initiative de Val d'Isère, organise le premier concours de ski d'été sur le glacier du Pissaillas comportant une descente et un slalom auxquels participèrent l'équipe de France et quelques champions locaux dont René BAZILE. Le Président de la République remit les trophées aux vainqueurs parmi lesquels figurait le champion international Emile ALLAIS qui remporta le premier grand prix. Au terme de cette année 1937, Val d'Isère est devenue une station touristique à part entière.
A partir de 1937-38, les premiers diplômes de moniteurs de ski français sont créés, et , tout naturellement les BAZILE, BONNEVIE portent les premières médailles (Emile ALLAIS porte la n°1).
L'hiver 36-37, Charles DIEBOLD ouvre la 1ère Ecole Française de Ski, dans laquelle une dizaine d'avalins travaillent cette fois dans le cadre d'un bureau organisé, au lieu de l'individualisme des premières années. En visite à Val d'Isère, les ministres Pierre COT et Léo LAGRANGE se font surprendre par la neige ; la station y gagne en célébrité. Pendant l'été 1937, le Président de la République Albert LEBRUN inaugure la route du Col de l'Iseran. La FFS, en accord avec le syndicat d'initiative de Val d'Isère, organise le premier concours de ski d'été sur le glacier du Pissaillas comportant une descente et un slalom auxquels participèrent l'équipe de France et quelques champions locaux dont René BAZILE. Le Président de la République remit les trophées aux vainqueurs parmi lesquels figurait le champion international Emile ALLAIS qui remporta le premier grand prix. Au terme de cette année 1937, Val d'Isère est devenue une station touristique à part entière.
A partir de 1937-38, les premiers diplômes de moniteurs de ski français sont créés, et , tout naturellement les BAZILE, BONNEVIE portent les premières médailles (Emile ALLAIS porte la n°1).
Imaginé par Charles DIEBOLD, 1938 voit la naissance du « Chamois de France ». Aujourd'hui, celui-ci est toujours prisé dans toutes les ESF de France. 1938 marque également la création de la STVI et l'école centrale de formation des moniteurs ouvre ses portes au Joseray.
DE 1939 À 1948
En 1939, ils sont une dizaine d'avalins à enseigner sous la direction de l'alsacien Winter TOMIAC au moment où débute la construction du téléphérique de Solaise, la station est en pleine expansion... c'est alors que la guerre éclate.
Entre 1944 et 1945, ils continueront à travailler durant ces années perturbées, la fréquentation touristique étant plutôt confidentielle. Les rares vacanciers sont choyés et les sorties en peaux de phoque s'organisent, non plus seulement sur Solaise mais vers l'Iseran, Bellevarde, le Charvet ... et même la Grande Motte.
Sur Solaise, 3 pistes sont créées :
En 1942, Val compte désormais 242 habitants.
En juin 1944, Germain MATTIS, moniteur de ski particulièrement apprécié de ses camarades et élèves, est arrêté par une patrouille et est déporté au camp de Neuengamme en Allemagne.
Ses amis moniteurs ont tenu à perpétuer son souvenir en donnant son nom à une piste, la « Germain MATTIS ».
Sur Solaise, 3 pistes sont créées :
- la A (première piste balisée en 1934 d'où son nom : la première lettre de l'alphabet !),
- la S (ainsi nommée en raison de son parcours sinueux et ouverte en 1943)
- et la M (M pour les skieurs « moyens », créée en 1948).
En 1942, Val compte désormais 242 habitants.
En juin 1944, Germain MATTIS, moniteur de ski particulièrement apprécié de ses camarades et élèves, est arrêté par une patrouille et est déporté au camp de Neuengamme en Allemagne.
Ses amis moniteurs ont tenu à perpétuer son souvenir en donnant son nom à une piste, la « Germain MATTIS ».
À partir de l'hiver 1945, les Ecoles de Ski Français s'organisent. C'est Gaston CATHIARD, de 1942 à 1960, succèdant à Winter TOMIAC, qui prend en main la direction de l'ESF de Val d'Isère ; en même temps qu'il jette les bases du Syndicat National des moniteurs. Il sera donc le « patron » de cette école qui était d'abord située près de « l'hôtel des Glaciers ». Gaston CATHIARD sera épaulé dans sa tâche par le noyau des pionniers auxquels s'ajouteront chaque année des jeunes, pratiquement tous avalins ou natifs de Haute Tarentaise. Ce sont tous ceux-là (ceux qu'on appelle « les anciens ») qui ont façonné l'ESF, se forgeant au fil des années une solide expérience, à la fois de l'enseignement avec une pédagogie acquise « sur le tas » et la montagne dont ils avaient déjà par hérédité, un sens inné.
Voici la première liste des moniteurs :
NB : les premières femmes sont Annie MAILLARD (jardinière) et Paule ERNY MORIS. À savoir qu'en 1955, parmi 500 moniteurs diplômés, on ne compte que 10 femmes (2%) dont Paule ERNY MORIS.
Voici la première liste des moniteurs :
- 1. BAZILE René
- 2. BONNEVIE Adolphe
- 3. BONNEVIE Fernand
- 4. COHENDOZ Antoine (« coin-coin »)
- 5. GATE Robert
- 6. MANGARD Rémi
- 7. MORIS Guy
- 8. EYMIEUX Raymond
- 9. GUNIE Jean
- 10. ?
- 11. SCARAFIOTTI Joachim
- 12. MATTIS Félix
- 13. JACCOD Amédé
- 14. ?
- 15. GAIDET Esther
- 16. JACCOD Paul
- 17. MATTIS Sylvain
- 18. MORIS René
- 19. MATTIS Firmin
- 20. MORIS Fernand
- 21. ARPIN Jean (dit Jean XXI)
- 22. ?
- 23. BONNEVIE Jean (dit Jean XXIII) comme le pape
NB : les premières femmes sont Annie MAILLARD (jardinière) et Paule ERNY MORIS. À savoir qu'en 1955, parmi 500 moniteurs diplômés, on ne compte que 10 femmes (2%) dont Paule ERNY MORIS.
En 1947, Charles DIEBOLD organise avec brio le premier « Grand prix de printemps ». Succès immédiat !!! Dès la 3ème année, cette compétition se hisse aux premiers rangs des plus prestigieuses rencontres sportives : elle deviendra le Critérium de la Première Neige dès 1955. La première équipe de ski de Tarentaise ne compte pas moins de quatre avalins : Henri OREILLER, Firmin MATTIS, René et Fernand MORIS. Lors de cette compétition, l'équipe porte des chandails tricotés par des avalines représentant l'aigle blanc, symbole des forces vives de notre vallée ! En 1948, Henri OREILLER, fils du boulanger, remporte l'or de la descente et du combiné aux JO de Saint Moritz.
DES ANNÉES 50 À 60
Le premier Challenge National des Moniteurs se déroule en 1951 à Méribel et est remporté par René MORIS. Il le remportera également en 1953 individuellement et par équipe. Là encore, c'est Gaston CATHIARD qui en est le fondateur. L'ESF de Val d'Isère peut dès lors s'enorgueillir de remporter de nombreux challenges (11 à ce jour !) ; à égalité avec l'ENSA. Notons qu'en 1949/50, le tremplin des Coves (encore visible en ruines aujourd'hui) est inauguré pour le saut à ski où quelques farfelus effectuent des bonds de 50 mètres et que le téléphérique de Bellevarde ouvre pour Noël en 1952.
Fin 1954, Val d'Isère accueille le 3ème Congrès International du Ski, manifestation qui eut un retentissement considérable. Ce fut l'occasion pour la commune d'investir dans de nouveaux locaux, qui abriteront notre nouvelle ESF, la mairie et la salle des fêtes.
En 1955, le Premier Critérium de la 1ère Neige est organisé. Lors de cette édition, c'est le chambérien Jean BOURDALEIX, membre de l'équipe de France, qui monte sur le podium du géant et du combiné et c'est l'avalin Firmin MATTIS qui remporte le slalom. Jean Claude KILLY, encore enfant, a eu entre autre comme professeur Adolphe BONNEVIE et rêve alors d'égaler les exploits de Firmin MATTIS, qui deviendra par la suite son entraîneur. Firmin a également suivi beaucoup de jeunes de Val d'Isère et d'espoirs confirmés comme les soeurs GOITSCHEL, Patrice BIANCHI, Ingrid JACQUEMOD, ... Les leçons des moniteurs ont porté leurs fruits...
En 1956, il y a désormais 528 habitants, 36 hôtels et Val d'Isère est sacrée « station de haute altitude la plus sportive de France ». Guy ARPIN et l'ESF de Val d'Isère remportent le challenge.
Juin 1957, notre village subit une importante inondation et en 1959 l'Isère est endiguée.
Dès 1959-60, Gaston CATHIARD laisse la direction de l'ESF, à René MORIS qui, durant 20 ans, assurera la continuité et le développement de l'école. Entre 1945 et 1960, l'ESF passe d'une trentaine de moniteurs à plus de soixante et atteindra la centaine en 1978.
En 1956, il y a désormais 528 habitants, 36 hôtels et Val d'Isère est sacrée « station de haute altitude la plus sportive de France ». Guy ARPIN et l'ESF de Val d'Isère remportent le challenge.
Juin 1957, notre village subit une importante inondation et en 1959 l'Isère est endiguée.
Dès 1959-60, Gaston CATHIARD laisse la direction de l'ESF, à René MORIS qui, durant 20 ans, assurera la continuité et le développement de l'école. Entre 1945 et 1960, l'ESF passe d'une trentaine de moniteurs à plus de soixante et atteindra la centaine en 1978.
Parmi eux, de très grands skieurs et à cette époque l'ESF de Val remporte de nombreuses victoires au challenge des moniteurs.
En 1962, Philippe MATTIS est à l'oeuvre ... il gagne à domicile ! Puis l'ESF remporte le trophée par équipe en 1964, 65, 66, 68, 69 et 70 !
En 1962, Philippe MATTIS est à l'oeuvre ... il gagne à domicile ! Puis l'ESF remporte le trophée par équipe en 1964, 65, 66, 68, 69 et 70 !
Durant ces mêmes années 60, nos champions avalins triomphent. Avec tout d'abord Christine et Marielle GOITSCHEL puis avec Jean Claude KILLY. A leur retour, ils sont portés en triomphe par nos moniteurs et les avalins. Val d'Isère est en fête ...
L'évolution continue... L'année 1967 voit la mise en service du téléphérique de la Daille. En 1971, un accord entre la STGM (Tignes) et la STVI (Val d'Isère) permet aux skieurs de circuler entre les deux stations. L'Iseran est quant à lui équipé en 1972.
L'évolution continue... L'année 1967 voit la mise en service du téléphérique de la Daille. En 1971, un accord entre la STGM (Tignes) et la STVI (Val d'Isère) permet aux skieurs de circuler entre les deux stations. L'Iseran est quant à lui équipé en 1972.
DES ANNÉES 70 À NOS JOURS
Les années 70 assistent à la démocratisation du ski : de nouveaux équipements, de plus en plus de fréquentation, Val d'Isère se développe et avec la forte poussée de croissance de la station, de nouvelles écoles parallèles se créent. L'ESF n'est plus seulement une équipe, c'est une entreprise. Les anciens qui ont vu défiler au fil du temps différentes méthodes, suivent les nouvelles évolutions.
Et chaque année notre école organise de mémorables fêtes de moniteurs avec bénédictions de skis, tombolas, descentes aux flambeaux, bals dansants, défilés, concours de déguisements etc ... En 1974, l'ESF de Val d'Isère remporte à nouveau le challenge par équipe (avec Alain CHAUDAN, Alain MARCHAND et André GUNIE)...
Et chaque année notre école organise de mémorables fêtes de moniteurs avec bénédictions de skis, tombolas, descentes aux flambeaux, bals dansants, défilés, concours de déguisements etc ... En 1974, l'ESF de Val d'Isère remporte à nouveau le challenge par équipe (avec Alain CHAUDAN, Alain MARCHAND et André GUNIE)...
En 1979, Patrice LECONTE tourne dans la station le film « Les Bronzés font du ski ». Fernand BONNEVIE devient une vedette cinématographique grâce à son célèbre cours du planté de bâtons donné à Michel BLANC.
Cette même année, René MORIS passe la main au nouveau directeur, Jean Louis MORIS pour 3 ans. L'hiver 1979- 1980, ouverture du bureau de l'ESF à La Daille, le Directeur est Jean Lou MORIS.
Puis de 1983 à 1989, Bertrand CATELAN officie à la tête de notre ESF. En 1984, la station fête ses 50 ans ! Que de chemins parcourus ... Les changements continuent d’opérer. Le centre de Val d’Isère est restructuré en 1987 et l'Ecole est déplacée et reconstruite. 1987 voit également la mise en marche du « Funival ».
En 1988, Didier BONNEVIE, Lionel FAYOLLE, et Olivier REBERT remportent le challenge des moniteurs par équipe : 10ème victoire du challenge pour l’ESF de Val d’Isère ! Notre école compte également à son actif un champion du monde de vitesse en monoski, Emmanuel BELLIER et un champion de France de KL (kilomètre lancé) Philippe GOITSCHEL . L’effectif des moniteurs en 1989 est désormais de 150 moniteurs, 40 entraîneurs et de 19 guides. Cette même année, Bernard CATELAN laisse son poste de directeur à Jean Claude CRAMPE qui dirige notre école de 1989 à 1999. Durant ces années 90, Val d'Isère organise en 1989 et 91 le challenge des moniteurs et en 1992, toute la station est en effervescence avec les Jeux Olympiques sur la Face de Bellevarde.
Notre effectif ne cesse de grandir, l'ESF était et reste aujourd'hui l'une des plus importante Ecole de ski de France.
1936 : 10 moniteurs
1945 : 30 moniteurs
1959/60 : 60 moniteurs
1973 : 75 à 120 moniteurs (selon périodes)
1978 : 100 moniteurs
1989/90 : 150 moniteurs + 40 entraîneurs + 19 guides
1992/93 : 200 moniteurs
1993/94 : 250 moniteurs
2003 : 300 moniteurs
2006 : 353 moniteurs
Depuis 2018 : plus de 400 moniteurs
Notre effectif ne cesse de grandir, l'ESF était et reste aujourd'hui l'une des plus importante Ecole de ski de France.
1936 : 10 moniteurs
1945 : 30 moniteurs
1959/60 : 60 moniteurs
1973 : 75 à 120 moniteurs (selon périodes)
1978 : 100 moniteurs
1989/90 : 150 moniteurs + 40 entraîneurs + 19 guides
1992/93 : 200 moniteurs
1993/94 : 250 moniteurs
2003 : 300 moniteurs
2006 : 353 moniteurs
Depuis 2018 : plus de 400 moniteurs
En 1999, Michel BOBBI est élu directeur.
L'hiver 2002 voit Stéphane MONGELLAZ remporter le challenge des moniteurs et en 2005, c'est Pierre PAQUIN qui hisse les couleurs de notre école en individuel et par école.
Val d'Isère accueille lors de l'hiver 2009, avec un succès grandiose les "Championnats du Monde de Ski Alpin" sur la "Face de Bellevarde" et bon nombre de nos moniteurs participent à cet événement. Déjà habitués à oeuvrer chaque début de saison pour le "Critérium de la 1 ère Neige", ils s'activent à la préparation des divers tracés, au lissage, au contrôle mais aussi à l'encadrement en tant que guides auprès des divers VIP, journalistes et même athlètes de haut niveau afin de leur faire découvrir notre formidable et vaste domaine skiable.
De 2009 à mai 2017, Patrice MONNIER a succédé à Michel BOBBI en tant que directeur de notre Ecole de ski.
Au cours de l'hiver 2011, Mathieu BOZZETTO remporte une belle médaille olympique lors des JO de Vancouver... Il a depuis, rejoint les rangs au sein de notre école en tant que moniteur !
Depuis 2013, notre ESF est dotée d'un nouveau chalet de 200 m2 au coeur du jardin d'enfant et une rénovation complète a été effectuée au sein du chalet d'accueil du centre. Le site internet est également en constante amélioration et comporte désormais un site marchand accessible aux tablettes et smartphones.
Depuis juin 2017, Franck TRIOULLIER, est directeur de notre Ecole de ski.
Dynamisme, progrès, enthousiasme, rigueur, qualité..., nous continuons notre belle aventure...
Et comment ne pas terminer ces lignes sans une immense pensée pour tous nos moniteurs disparus, qui ont laissé leurs traces comme une marque indélébile dans l'histoire du village, du ski et de notre ECOLE... C'est à eux que cet historique est dédié.
L'hiver 2002 voit Stéphane MONGELLAZ remporter le challenge des moniteurs et en 2005, c'est Pierre PAQUIN qui hisse les couleurs de notre école en individuel et par école.
Val d'Isère accueille lors de l'hiver 2009, avec un succès grandiose les "Championnats du Monde de Ski Alpin" sur la "Face de Bellevarde" et bon nombre de nos moniteurs participent à cet événement. Déjà habitués à oeuvrer chaque début de saison pour le "Critérium de la 1 ère Neige", ils s'activent à la préparation des divers tracés, au lissage, au contrôle mais aussi à l'encadrement en tant que guides auprès des divers VIP, journalistes et même athlètes de haut niveau afin de leur faire découvrir notre formidable et vaste domaine skiable.
De 2009 à mai 2017, Patrice MONNIER a succédé à Michel BOBBI en tant que directeur de notre Ecole de ski.
Au cours de l'hiver 2011, Mathieu BOZZETTO remporte une belle médaille olympique lors des JO de Vancouver... Il a depuis, rejoint les rangs au sein de notre école en tant que moniteur !
Depuis 2013, notre ESF est dotée d'un nouveau chalet de 200 m2 au coeur du jardin d'enfant et une rénovation complète a été effectuée au sein du chalet d'accueil du centre. Le site internet est également en constante amélioration et comporte désormais un site marchand accessible aux tablettes et smartphones.
Depuis juin 2017, Franck TRIOULLIER, est directeur de notre Ecole de ski.
Dynamisme, progrès, enthousiasme, rigueur, qualité..., nous continuons notre belle aventure...
Et comment ne pas terminer ces lignes sans une immense pensée pour tous nos moniteurs disparus, qui ont laissé leurs traces comme une marque indélébile dans l'histoire du village, du ski et de notre ECOLE... C'est à eux que cet historique est dédié.
Auteur de l'historique : Laurence FLECHET